NOTRE VISION STRATÉGIQUE

Proposer une offre

globale

Dans les années à venir, le Groupe CHEVAL continuera à mettre en oeuvre toutes les actions qui sont issues de notre bon sens et de notre réflexion collective qu’a suscitée la mise en place du statut de société à mission.

Jean-Pierre Cheval 

Une croissance dynamique et maîtrisée

Le fil conducteur de notre développement est toujours d’élargir nos métiers et notre présence sur les territoires. Dans les années à venir, le Groupe CHEVAL poursuivra donc cette ligne directrice tout en intégrant les axes fixés dans le cadre de la société à mission : donner la priorité à nos 1100 collaborateurs, s’engager pour l’environnement et se positionner en tant qu’entreprise citoyenne et impliquée.

Anticiper pour préparer l'avenir

Depuis quelques années, le Groupe CHEVAL a fait des choix forts par anticipation de la réglementation.  Dans le cadre de son développement, il a ainsi intégré ces dernières années de nouvelles compétences : désamiantage, déconstruction, dépollution et valorisation des matières. Ces activités prennent désormais toutes leurs valeurs par exemple dans le cadre de la loi ASAP (loi d’accélération et simplification de l’action publique), fixant l’objectif « zéro artificialisation nette des sols » et obligeant, de ce fait, à reconstruire sur la ville.

 

 

Des métiers complémentaires et une offre globale

Depuis trois générations, le Groupe CHEVAL s’est construit sur l’acquisition progressive de nouvelles sociétés implantées régionalement. Il dispose aujourd’hui de 22 entités regroupant des métiers complémentaires. Le Groupe propose donc à ses clients une offre globale sur le quart Sud-Est de la France.

Différents défis à relever

Le Groupe CHEVAL doit continuer à agir au service des populations pour maintenir leur qualité de vie en entretenant les infrastructures existantes : celles de la mobilité, de l’accès à la ressource eau, de l’énergie ou de la communication. Ces opérations de maintenance sont indispensables. Toutefois, nous devrons absolument assumer notre responsabilité environnementale. Il est désormais indispensable de favoriser le recyclage des matières, d’avoir recours aux énergies alternatives ainsi que de rechercher la cohabitation entre le biotope et les infrastructures. Le challenge sera par ailleurs de réussir à communiquer auprès du grand public afin qu’il comprenne que les travaux sont utiles aux populations et qu’ils peuvent se faire sans nuire à l’environnement